La philosophie du petit-déjeuner au lit.
Le symbole du petit-déjeuner au lit.
Dans notre monde trépidant, prendre son temps devient parfois un luxe. En ce dimanche matin, encore sous la couette, j’ai envie de jouir de ce luxe. Depuis quelques mois, mes weekends ont étés rythmés par les obligations professionnelles et plus récemment le désir de retrouver des contacts plus sociaux à travers la famille et les amis. En ce dimanche de juillet, il pleut. La fenêtre est ouverte. Il ne fait pas très chaud et j’apprécie de remonter la couette. Mais ressentir un courant d’air me fait du bien. Je réalise le bonheur de ressentir le tissu des draps en coton sur ma peau, accentué par le temps. Effectivement, se débarrasser de la crainte de ne pas avoir le libère beaucoup. Même si je ne suis pas un grand adepte du petit-déjeuner au lit. Il me semble être le symbole de ce moment simple et dans mon cas rare.
Du petit-déjeuner au lit au plaisir.
Que l’on soit seul ou en couple. Que l’on dorme seul ou à deux, chacun pourra y trouver son plaisir. Pour cela, il suffit de se libérer de certaines culpabilités et de faire preuve d’un peu d’imagination. Effectivement, il s’agit d’un moment à soi ou pour partager. Quoique que cela puisse être les deux à la fois. En outre à deux, voilà un moment pour prendre soin l’un de l’autre. Pour certains, il s’agit d’une étape de la grasse matinée. De plus, le petit-déjeuner au lit peut faire partie des préliminaires à une relaxation sexuelle. Remarquez même seule ou seul, le lit doit être un moment de relaxation et de plaisir. On sait maintenant que cela ne rend pas sourd 😉.
L’opportunité de recouvrir l’importance du petit-déjeuner.
Que l’on soit adepte du petit-déjeuner au lit ou pas, il s’agit de l’opportunité de se réconcilier avec ce repas. Car le premier repas de la journée a pour vocation de relancer la machine restée au ralenti tout au long du sommeil. Malheureusement au cours de la semaine, il est souvent négligé voire sauté par manque de temps. Il s’agit d’un vrai élément de bien-être, de performance et de santé. Ceci dit ce matin au fond de mon lit, je ne suis pas dans la tenue pour vous faire la morale. Remarquez cela n’a jamais été l’objet du blog comment mieux dormir. Revenons à nos moutons qu’il n’est plus temps de compter. Je disais donc que l’on prenne le petit-déjeuner au lit ou pas, il marque un vrai moment de bien être sans contrainte.
Le bonheur de prendre son temps.
Le repas pris, nombreux se glisseront à nouveau sous la couette se laissant absorbés par le matelas. Puis, certains se rendormiront alors que d’autre se laisseront guider par leurs pensées voire leurs désirs. Le fait d’avoir le temps, parfois la nudité, laisseront place à la douceur. Évidemment, nous avons tous des images de dimanches matins où nous étions justes bien dans les bras l’un de l’autre. Puis le désir montant, l’orgasme passé, les corps enlacés, le temps semblait suspendu. Finalement, tout cela pour vous dire bon dimanche et bon petit-déjeuner. Par conséquent, osez prendre votre temps, il est même utile de s’ennuyer de temps en temps.
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La vraie morale de la princesse au petit pois.
Connaissez-vous la princesse au petit pois ?
Il s’agit d’un conte pour enfants du danois Hans Christian Andersen. En gros, un prince un peu difficile ne trouvait pas sa princesse. Sa mère la reine qui probablement craignait qu’il se transforme en Tanguy, redoublait d’imagination pour lui présenter des prétendantes. Mais rien n’y faisait. Aucune ne trouvait grâce à son grand dadais. Visiblement, il idéalisait la femme. C’est à ce moment qu’est apparue la princesse au petit pois. Alors on imagine déjà la scène. L’atmosphère devenu pesant au château. Un soir de pluie … à non là je me trompe, c’est une chanson de mon enfance. Plutôt, une nuit d’orage, on frappe à la porte. Une jeune femme toute trempée apparaît. Elle demande l’hospitalité en se faisant passer pour une princesse. Aussitôt la reine mère percute. Son obstination finira t elle par payer ? Trouvera-t-elle enfin la femme digne de son rejeton de prince ?
Un bon matelas ne vous trahira jamais.
Effectivement, toute l’intrigue du conte de la princesse au petit pois réside dans le matelas. Ou plutôt dans l’utilisation de vingt matelas. Effectivement, la reine fait aussitôt préparer une chambre pour la princesse toute mouillée. Avec un lit composé d’une pile de 20 matelas, en dessous de laquelle elle glisse un petit pois. Pas joli joli tout ça madame la reine. Toujours est-il que le lendemain matin la belle a très mal dormi. Ah si elle avait lu les conseils de comment mieux dormir…. Nul doute pour la reine et son prince de fils, autant de délicatesse et un tel sens du détail en font la femme idéale. Tout est bien qui finit bien, il l’épouse.
La morale de la princesse au petit pois.
J’aimerai vous dire que la moralité de cette histoire est qu’il faut toujours avoir un matelas de qualité. Mais je crains, qu’il s’agisse plutôt que derrière toute princesse se cache une chieuse. Oh pardon, un femme qui retiens toujours le détail qui ne va pas. Reconnaissez qu’être accueillie lors d’une nuit d’orage, et ne retenir que le détail qui ne va pas…. À moins qu’il s’agisse tout simplement d’une française. C’est bien connu les français ne voient que ce qui ne va pas. À mon tour, je dois noter que glisser un petit pois sous le matelas de son hôte, ne relève pas de l’esprit le plus sain non plus. Finalement, tout cela présage une relation belle-mère, belle-fille à la hauteur des plus grands clichés.
Pour en finir avec la morale de la princesse au petit pois.
Après cette vision très personnelle de la princesse au petit pois, je l’avoue. Les spécialistes disent que la morale de cette histoire est qu’il faut se méfier des apparences et ne pas juger une personne dés la première rencontre.
Pour mémoire, le conte de la princesse au petit pois (Les P’tits z’Amis).
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Confinement : pourquoi certains éprouvent un sentiment de culpabilité ?
Les différentes formes de culpabilité.
Voilà déjà plusieurs semaines que nous avons cessé le confinement. Après la découverte de cet enfermement de 55 jours nous découvrons la vie d’après. Après les nombreux échanges numériques, nous avons commencé à nous revoir. Lors des différentes discussions, ce qui me frappe, c’est que tout comme moi de nombreuses personnes ont ressenti un sentiment de culpabilité. Comme par exemple, de ne pas avoir compris le danger assez tôt. Ou bien pour de nombreuses mamans, la culpabilité de ne pas être une bonne maîtresse. Je ne sais d’où cela vient. Certainement que seul un psychologue pourrait répondre cas par cas. Alors pour la première fois sur comment mieux dormir nous n’allons pas répondre à la question posée. Mais, il m’a semblé bon de verbaliser et de partager cette expérience.
La culpabilité de ne pas être une bonne maman.
De nombreuses femmes témoignent avoir eu du mal à devenir une institutrice. Sans compter que bien souvent beaucoup d’entre elles ont du télétravailler, enseigner et assurer le quotidien. Plus particulièrement, je pense à une berrichonne, qui travaillait de 6 à 9 heures et de 20 heures à minuit quand les enfants était couchés. On imagine aisément son état d’épuisement. Visiblement à l’époque de l’enfant roi, il semblerait que les mamans ne se conçoivent que parfaites.
La culpabilité d’être un mauvais Français.
Sur ce thème, j’ai constaté plusieurs natures de culpabilité. Premièrement, les provinciaux (non non ce n’est pas péjoratif), dont les enfants ont subitement quitté la capitale, ont culpabilisé. Culpabilité de les avoir laissé faire. Culpabilité de les avoir laissé prendre des trains bondés. Alors que d’autres ont ressenti la culpabilité d’avoir laissé leur enfant dans une chambre universitaire minuscule. Deuxièmement, de nombreuses personnes ont ressenti le besoin de s’investir pour aider leur prochain. Et ce avec le sentiment de ne jamais en faire assez. Alors un merci à tous ces gens là.
La culpabilité de l’épouse.
Bien souvent, la femme multitâche se reproche de ne plus avoir eu le temps d’avoir été une femme et une épouse. Pire, j’en connais plusieurs, qui ont découvert qu’elles ne supportaient plus leurs maris. Le rapprochement de longue durée, voire la promiscuité ont être un révélateur des failles du couple. Certains spécialistes du couple prédisent même une vague de divorces dans les mois à venir. Rappelons que certaines ont même été victimes de violences conjugales.
La détresse de l’entrepreneur.
Notre monde pardonne guère au chef d’entreprise de ne pas prévoir. On peut effectivement admettre, que parfois cela se justifie. Mais dans la crise de la Covid (selon l’académie française, il s’agit d’un mot féminin), je pense que nous n’avons pas été nombreux à prévoir l’ampleur de cette crise. La femme ou l’homme qui entreprend a naturellement du mal à appréhender le risque de perdre ce qu’il a construit parfois depuis de bien nombreuses années. De plus, pour l’entrepreneur toute défaillance, signifie prendre le risque de d’équilibrer toute la chaîne de valeur. Par exemple avec d’un bout les salairiés et de l’autre les fournisseurs. En quelques heures, dès années de partenariat se retrouve mis à l’épreuve. De plus il faut préciser, que face l’échec certains et certaines mettent fin à leurs jours. La crise de la Covid a provoqué de toute part des drames humains.
Comment expliquer ce sentiment de culpabilité ?
Je n’en sais rien et j’aborde ce point avec beaucoup d’humilité. Personnellement, je me suis très vite senti responsable de ne pas être à la hauteur de l’enjeu que vivait notre pays. Mais également de ne pas avoir su protéger mon entreprise. Rassurez-vous, je vais bien et l’action m’a semblé être la solution pour avancer. En échangeant avec différentes de ces personnes, j’ai eu l’impression qu’il s’agissait de gens qui avaient pour nature de réfléchir, de se poser des questions. Si cela ne pouvait être que le prix à payer le fait d’avoir une vraie capacité à se remettre en cause. Pour conclure, peut-être n’avons nous pas fait assez, mais cela était bien mieux que d’être tétanisé devant son écran de télé en recherchant tout ce qui allait pas.
Prenez soin de vous !
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Sois belle, et confinée !
Avec le confinement, le retour du cliché « sois belle et tais-toi » ?
Sur quels liens ai-je pu cliquer pour être noyée d’injonctions à faire du sport, entretenir mes cheveux, ma peau, ma silhouette pendant le confinement ? Est-ce que c’est moi, ou cette période de confinement a vu émerger une crainte que les femmes allaient être victimes de disgrâce parce que confinées sans coiffeur, sans esthéticienne, et qu’elles risquaient de grossir, de devenir moins belles ?
Pourquoi l’impact du confinement n’atteindrait-il que le corps des femmes ? Le confinement aurait-il, sournoisement, cultivé un retour du cliché « sois belle et tais-toi » ?
Les émois des dictateurs de l’image des femmes.
Entre les conseils pour garder un ventre plat, être belle en maillot cet été, les vidéos pour cultiver une silhouette de rêve (masculin) pleuvent sur les réseaux sociaux. Déjà qu’en temps normal, à cette période nous n’échappons pas au régime d’avant l’été, et à l’épreuve du maillot … illustré par une silhouette féminine bien sûr, la sortie post-confinement semble mettre en émoi les dictateurs de l’image des femmes.
Chaque jour je vois passer ici et là « les conseils pour masquer vos cheveux blancs » ; « les astuces pour sublimer votre peau durant le confinement » et j’en passe … Laissant supposer qu’une femme qui n’a pas vu son coiffeur ni son esthéticienne ne serait ni satisfaite ou heureuse, ni présentable !
Sois belle et ne prends pas trop de kilos pendant le confinement.
« Où sont les femmes » chantait Alain Chamfort, elles sont confinées, et parfois même de retour à la cuisine, diantre ! Que de photos de recettes partagées, en retrouvant le temps de cuisiner, ce retour aux fourneaux adresse aussi un message de danger : la prise de poids ! Combien d’illustrations ai-je croisé sur le pari des kilos pris en confinement, et bien souvent, là encore … illustré par un corps de femme ! Quand ce retour en cuisine n’adresse pas un message plus terrible encore … le retour à leur place … si si je vous assure, certaines illustrations à vocation humoristique bien sûr, propagent tout de même cette idée aux relents machistes d’hier.
Sois belle même confinée !
Alors que font les femmes en confinement ? Elles gèrent les enfants et leur boulot en télétravail. Pensez-vous que la majorité d’entre nous a pour principale préoccupation notre épilation ? Que notre quotidien soit rythmé par le step le matin, le yoga l’après-midi, le fitness du soir, tout cela pour offrir aux regards masculins un spectacle agréable au sortir du confinement sur une plage déserte ? Que notre adn serait d’être belle, et pourquoi pas superficielle tant qu’on y est ?
Et bien, c’est ce que sèment ces injonctions : sois belle et confinée, sois belle même confinée …
Alors comment ne pas culpabiliser, comment ne pas se laisser petit à petit gagner par ces conseils pourtant bienveillants et souvent insufflés par des femmes …
Peut être que la première piste est de séparer l’image de la femme fantasmée, de la femme réelle et voire même la femme naturelle – je sais, c’est osé 😊 – !
Comment se libérer du sois belle ?
Affranchissons-nous du regard porté sur nous, quelle femme est ce que je suis, quelle femme je veux être … pour moi ! Alors bien sûr, si, en tant que femme, vous avez un réel plaisir à valoriser le temps du confinement pour vous mettre au sport, ou cultiver votre silhouette, c’est formidable, parce que dans ce cas, c’est votre choix, votre envie, votre besoin !
Soyons vigilantes toutes, ne partageons pas ces messages qui insidieusement remettent la femme à l’état de femme objet. Simone Veil ne disait-elle pas « N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis. Vous devrez rester vigilantes votre vie durant. »
Bien sûr, il ne s’agit pas de nos droits ici, mais les clichés ayant la vie dure, les situations exceptionnelles ont pour effets secondaires de raviver de vieux schémas et c’est bien ce à quoi j’ai le sentiment d’assister par moment sur les réseaux sociaux.
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Quel est notre rapport à la nudité ?
La nudité est-elle gênante ?
Vous avez peut-être entendu parler de cette femme américaine qui a dû plaider coupable d’attentat à la pudeur envers son mari car elle lui avait montré ses seins. En fait, il s’agit d’une histoire un peu plus complexe. Le couple reformé bricolait topless dans leur garage. Les enfants du mari sont entrés et ont vu leur belle-mère seins nus. Puis un d’eux a rapporté cela à sa mère. Cette dernière a porté plainte. Pour éviter d’être fichée au fichier des délinquants sexuels, elle a plaidé coupable envers son mari. Alors, je vous ferai grâce des réflexions sur les excès de la justice américaine ou sur la vengeance des ex. Mais, un matin au café avec 3 amis (une femme et deux hommes), le sujet est venu dans la conversation. Les remarques étaient étonnamment aussi variées sur cette nudité. Ainsi, ces réflexions riches m’ont semblées tout à fait dignes d’une réflexion à mener sur ce blog.
Quel est notre rapport à notre corps ?
En fait, ce que révèle cette anecdote, c’est notre rapport à la nudité. Et par extension le rapport à notre propre corps. Je vous assure, pour moi qui suis d’une pudeur extrême, aborder ce sujet n’est pas si simple. Par exemple, je ne suis pas du genre à me promener en short et surtout torse nu. Et au-delà de la notion de nudité, c’est aussi cette notion de torse nu qui diffère qu’il s’agisse d’une femme ou d’un homme. Effectivement, bien souvent la poitrine d’une femme est sexualisée, alors que celle d’un homme ne semble pas l’être. Dans notre discussion, notre amie féminine nous faisait remarquer que « bricoler topless n’était pas très pratique de manière générale ». Immédiatement, elle imaginait la peinture qui tombait à même sa peau. Tout en considérant que « les seins de madame sont plus fragiles ».
La nudité, un problème de culture et sexualisation et du corps ?
En fait, j’ai l’impression que la nudité est un problème de culture et de sexualisation du corps. Car on connaît tous des situations où nus nous sommes bien loin d’une pensée sexuelle. Par exemple, je pense à la consultation chez le gynécologue pour madame et chez l’urologue pour monsieur. Alors que nous nous sommes tous retrouvés face à quelqu’un d’habillé qui nous suggérait le désir. Ou bien encore, certains peuples qui vivent bien plus nus que nous, n’ont pas le même regard les uns sur les autres.
Le rapport à notre corps.
Par ailleurs, on ne peut pas parler de nudité sans parler du rapport que nous avons à notre corps. Effectivement cela peut dépendre des situations. Cela dépend aussi des individus et des périodes de la vie. Car il fluctue pour chacun tout au long de l’existence. Par exemple, si le petit enfant ne connaît pas la pudeur, l’adolescent est confronté à un véritable orage psychologique. De même, si le jeune adulte peut finir par apprivoiser son corps, en prenant de l’âge certaines personnes peuvent à nouveau ressentir certaines gènes, avec l’évolution de ce satané corps. Ceci dit, complexé ou pas, le fait de se sentir nu peut fasciner. De nombreux pudiques comme moi aimeraient tenter l’expérience du naturisme. Probablement une envie de dépassement de soi et de découvrir un autre rapport à son corps. Peut-être s’agit-il d’une envie refoulée de se repositionner au cœur de la nature. Environnement dont nous faisons partie, mais que nous avons l’affreuse tendance à oublier.
La gêne de se retrouver nu.
Pudeur mise à part, le contexte dans lequel nous nous retrouvons nus influe sur le sentiment éprouvé. Par exemple se déshabiller de but en blanc devant quelqu’un est généralement gênant. Alors qu’après une douche, la nudité devient bien plus agréable. Les choses deviennent bien plus évidentes et désinhibantes quand tout le monde est dans la même situation, comme à la plage ou dans un sauna. Par ailleurs, la sexualisation du corps peut rendre la nudité fort agréable. Évidemment, à condition que nous l’ayons souhaité. Effectivement, se retrouver nu avec l’être aimé nous désinhibe. Mieux, ce sentiment nous permet de nous sentir plus beaux et valorisés.
(*) 1001 fesses project : Emilie Mercier et Frédérique Marseille se sont donné la mission de prendre en photos 1001 fesses. L’idée de ces deux amies, est de réconcilier les femmes avec leurs corps. Une belle démarche artistique et de body positive autour de la nudité.
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5 conseils pour mieux dormir pendant le confinement.
Lutter contre l’anxiété et le relâchement.
Depuis une bonne semaine les informations vont de mal en pis. De plus, le confinement bouleverse nos habitudes, à tel point que certains n’arrivent pas encore à y croire. Mais une fois confiné, il faut digérer cette nouvelle vie et s’organiser. D’autant, que certains parents doivent désormais cumuler le télétravail et l’école à la maison. Même si en bons français, certains défient encore la règle, au passage, on peut saluer la capacité d’adaptation de beaucoup d’entre nous. Je pense aux enseignants et à l’éducation nationale qui en moins d’une semaine à mis en place un outil et une méthode pour assurer la continuité de l’école. Mais pour les enfants, comme pour les parents, l’anxiété et le changement de rythme peuvent nuire au sommeil. Certains, souffrent d’insomnie, d’autres se laisseront aller à dormir plus. Alors voilà quelques conseils pour mieux dormir pendant le confinement.
1/ Garder du rythme :
En fait, l’idée consiste à ne pas perturber notre horloge biologique. Pour cela, il ne faut pas décaler ses horaires de coucher et de lever. De plus, il faut garder un temps limité au lit. En d’autres termes, si je n’arrive plus à dormir, je me lève. Effectivement, le risque pour certains pourraient de se mettre en mode vacances. Et de se laisser aller à se glisser sous la couette plus tard que d’habitude et traîner au lit plus longtemps. Finalement pour mieux dormir pendant le confinement, nous recommandons de garder le plus possible votre rythme habituel.
2/ S’exposer à la lumière le matin.
Comme nous vous l’expliquons régulièrement sur le blog comment mieux dormir, la lumière est essentiel au sommeil. Il faut respecter notre cycle circadien, à savoir la notion d’éveil avec la lumière et d’endormissement avec l’obscurité. Ainsi pour mieux dormir pendant le confinement, il faut s’exposer chaque matin à la lumière du soleil. À défaut, une lampe de luminothérapie en mode lumière bleue peut-être une bonne alternative. Ou bien, un écran de télé ou d’ordinateur peut aussi faire l’affaire. Même si j’affectionne pas trop cette solution, je vous rappelle que la lumière de nos écrans produit une lumière bleue qui s’apparente a celle du jour. C’est pourquoi, nous déconseillons leurs usages deux heures avant de dormir.
3/ Faire de l’activité physique à la maison.
Il faut reconnaître que nous ne sommes pas tous égaux dans ce domaine, car certains vivent en appartement, alors que d’autres possèdent un jardin de 2000 mètres carrés. Cependant, il reste important de se dépenser, c’est essentiel afin de se sentir mieux et de mieux dormir pendant le confinement. Tout en restant prudent sur leur sélection, il existe des tutos d’exercices que l’on peut faire chez soi, même si l’on ne possède pas de vélo d’appartement. De plus, on trouve même des exercices pouvant se faire sur son lit.
4/ Faire la sieste.
S’accorder vingt minutes de sieste reste une excellente idée. En fait, en cette période où nous disposons d’un peu plus de temps, n’est-ce pas finalement une opportunité d’apprendre à faire la sieste ? D’autant plus, qu’il s’agit d’un excellent moyen de prendre du temps pour soi et de s’occuper de soi. Et par conséquent, voilà un moyen d’éloigner le stress et de mieux dormir pendant le confinement.
5/ Mieux se préparer au sommeil.
Effectivement, nous ne rappellerons jamais assez que le sommeil doit se préparer. Et ce d’autant plus en période stressante où tous nos fondamentaux sont remis en cause.
– Limiter les excitants :
De manière générale, il faut éviter de boire du café, du soda et des boissons énergisantes. Plus particulièrement, pour mieux dormir pendant pendant le confinement, il ne faut surtout pas en boire après 14h.
– Réduire l’activité physique 3 à 4 heure avant de se coucher :
Tout simplement, le corps doit ralentir progressivement.
– Soigner votre dîner :
Tout d’abord, ne le sautez surtout pas. Et privilégiez les féculents qui permettent d’éviter les fringales nocturnes. Par contre, il faut fuir les plats gras.
– Déconnectez-vous 1h à 2h avant d’aller se coucher :
Comme, je vous l’expliquais précédemment, la lumière bleue des écrans s’apparente à cette du jour. Donc, elle envoie au cerveau un signal d’éveil.
Les commerçants de l’Indre se mobilisent autour de la CCI.
Parmi les choses, qui peuvent empêcher de dormir, il y a bien la situation des commerçants et de la plus part des entreprises françaises. Afin, de casser l’isolement et de garder le contact, la CCI de l’Indre a mis en place une page Facebook et une chaîne YouTube. Vous trouverez ci-dessous un certains nombre de ses tutoriels qui pourront probablement vous aider à mieux dormir pendant le confinement.
Un auto-massage beauté et détente conseillé par Adeline de : Les sens de Bach.
Les conseils positifs d’Agnès Devillières pour positiver cette période de chamboulement, notamment pour organiser son temps.
Fermez les lieux et laissez-vous aller à la lecture réalisée par la librairie Arcanes.
Et pourquoi pas un peu de jardinage avec les recommandations de Pauline du Jardin d’ombres ?
Enfin, retrouvez le résumé vidéo de cet article sur mieux dormir pendant le confinement.
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Est-il bon de dormir sur le ventre ?
Les particularités de cette position de sommeil.
Uniquement dormir sur le ventre, présente de nombreux inconvénients. Mais avant de les détailler, dédramatisons. Car, il semble très rare de ne dormir que dans une seule position tout on long de la nuit. Généralement, selon les personnes, nous nous endormons plus sur le coté ou sur le ventre. Mais, nous changeons très régulièrement de position de sommeil. Ce qui relativise les méfaits. Premièrement, dormir sur le ventre impose de poser la face sur l’oreiller. Afin de pouvoir respirer, on doit tourner la tête. Ce qui provoque un position du cou peu naturelle. Elle peut occasionner des douleurs au niveau des cervicales, voire même des torticolis. Deuxièmement, les messieurs ayant un peu de ventre où les femmes aux seins généreux risquent de ne pas être bien. Dans certains cas cela peu provoquer problèmes de santé. Mais, on parle de cela après.
Pour bien dormir sur le ventre : attention à ne pas comprimer le ventre.
Les personnes ayant un peu de ventre auront plus de mal à dormir dans cette position. Évidemment, on pense instinctivement aux femmes enceintes. Effectivement, dans ce cas dormir sur le ventre deviendra impossible. Mais je pense également à un monsieur que j’ai rencontré il y a quelques années. Il a souffert pendant de nombreuses années de troubles digestifs et de maux de ventre. Après de nombreux examens médicaux, un gastro-entérologue a découvert que les troubles venaient de l’excès de fermeté de son matelas. En fait, en dormant sur le ventre la compression était trop importante. Certes ce cas semble rare. Mais nous ne vous rappellerons jamais assez qu’un matelas trop ferme nuit au sommeil.
Quelle literie choisir pour dormir sur le ventre ?
En fait, je serais tenté de vous dire la même que pour dormir sur le coté que sur le dos. Plus précisément, il faut une literie résiliente afin de ne pas presser le ventre ou la poitrine pour les femmes. Plus généralement, comme nous vous l’avons déjà expliqué sur comment mieux dormir, un matelas doit respecter la morphologie du dormeur. De plus, on se tourne de temps à autre pendant le sommeil. Par conséquent, un matelas confortable doit être suffisamment élastique afin de soutenir le corps dans chacune des trois positions. Plus particulièrement, pour bien dormir sur le ventre l’oreiller ne devra pas être trop haut. Par exemple, on peut conseiller un oreiller en flocons de laine ou un oreiller en graines car ils sont réglables.
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Citations sur le sommeil et autres pensées nocturnes.
L’art de la citation positive.
Vous avez certainement constaté que les réseaux sociaux regorgeaient de citations en tous genres. Comme si la vue soudaine d’une pensée positive nous revigorait. À l’heure, où la la haine transpire dans beaucoup de publications, voilà une vision rassurante. D’ailleurs, sur Comment Mieux Dormir, nous ne rechignons pas à en publier de temps à autres. Il va de soit que nous avons un goût tout particulièrement pour les citations sur le sommeil. Nous avons tendance à les renommer pensées nocturnes. En ce dimanche, de février, alors que la tentation est de rester sous la couette, nous nous sommes laissés aller à un bestof. Finalement, au risque de taquiner les évidentes, nous vous proposons une série de citations sur le sommeil, le bien-être et pleins d’autres thèmes de ce style. Et ce en allant jusqu’aux pensées nocturnes de Pierre Desproges.
En route vers nos citations sur le sommeil.
« Le sommeil est la moitié de la santé. » Proverbe français
« Une bonne conscience rend le sommeil léger. » Proverbe français
« Se coucher tard nuit. » Raymond Devos
« L’ouvrage fini procure le meilleur sommeil. » Proverbe danois
« Une maman ne dort jamais tout à fait ; elle est liée au sommeil de son enfant. » Jean Gastaldi
« Le lundi je suis comme Robinson Crusoé, j’attends le vendredi. » Pierre Desproges
« Pourquoi vouloir décrocher la lune quand on a les étoiles. » Etienne Daho
« Le principal fléau de l’humanité n’est pas l’ignorance, mais le refus de savoir. » Simone de Beauvoir
« L’ouverture d’esprit, ce n’est pas une fracture du crâne. » Pierre Desproges
« On a deux vies. La deuxième commence quand on réalise qu’on n’en a qu’une.” Confucius
« N’aie pas peur d’avancer lentement. Aie peur de rester immobile.” Proverbe chinois
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Comment bien se détendre pour mieux dormir ?
Quelques conseils pratiques pour se détendre pour mieux dormir.
Parmi les conseils que nous vous donnons régulièrement sur notre blog pour savoir comment mieux dormir, il faut préparer le sommeil. Effectivement, pour mieux dormir, nous recommandons de baisser le rythme progressivement. Plus particulièrement, vous pouvez relire notre article « Comment mieux dormir ». Mais aujourd’hui, nous allons aller plus loin en nous intéressant de se détendre pour mieux dormir. Plus particulièrement, le fait de prendre le temps de s’occuper de soi procure du bien-être et favorise le sommeil. Cela va tout simplement, de prendre soin de son corps, jusqu’à l’orgasme en passant par le sport, la méditation ou le yoga.
1/ Prendre du temps pour soi :
Bien que cela puisse paraître évident, il n’est toujours si simple de prendre du temps pour soi. Bien souvent après les obligations professionnelles et familiales, la facilité est d’aller au lit. Mais prendre une douche est déjà un moyen élémentaire de s’occuper de soi. Et ce au delà des vertus hygiéniques ou de faire baisser la température corporelle. Ou bien encore une séance de lecture peut en toute simplicité remplir la fonction de se détendre pour mieux dormir. Finalement, la vie famille ne doit pas être synonyme d’abandon de soi.
2/ Faire du sport :
Il sert le sommeil si il est dans l’objectif de se détendre pour mieux dormir et d’évacuer les tensions de la journée. Il faut abandonner tout esprit de compétition. Et idéalement le pratiquer 4 heures avant de se coucher. Alors sports choisir pour mieux dormir ? En fait de nombreux sports favorisent le sommeil. Notamment, on peut citer la gymnastique, l’aérobic, la musculation. Par ailleurs, les sports extérieurs présentent aussi des avantages. On pense à la marche, au cyclisme ou bien encore au golf.
3/ Faire du Yoga :
On ne pense pas toujours au yoga. Mais certaines postures pratiquées le soir peuvent permettre de se détendre. De plus, elles peuvent même se pratiquer sur son propre lit. Il suffit de rabattre la couette sur le matelas pour plus de confort et d’espace. Puis rien de mieux qu’un tuto pour bien comprendre. Dans la vidéo ci dessous vous découvrirez 5 postures de yoga pour mieux dormir, tout comme dans l’article de madame Figaro.
4/ quelques postures de méditation
Autre piste intéressante, pratiquer la méditation. Comme par exemple, ces quatre exercices de méditation à faire pour se détendre pour mieux dormir. Encore une fois après la technique acquise, la méditation peut parfaitement être pratiquée dans la chambre. Une activité qui s’agite à la liste des choses que l’on peut faire au lit.
5/ faire l’amour ou se masturber :
Effectivement, cela peut en surprendre certains, voir les choquer. Mais pourtant, il ne s’agit pas de la chose la plus difficile à réaliser pour se détendre pour mieux dormir. En fait, selon une étude australienne publiée 2019, le sexe en fin de journée aiderai réellement à mieux dormir. Il semblerait que sur les 578 participants à l’étude, près de 71% déclarent qu’ils dorment mieux après avoir eu un orgasme avec un partenaire. Alors que plus que 50% de ceux ou celles qui ont eux recours à la masturbation, déclarent mieux dormir. Finalement, à vous de donner de votre personne pour savoir dans quel camp vous vous trouvez. Par ailleurs, une chose peut être soulignée, l’orgasme permet de libérer de l’ocytocine. Il s’agit d’une hormone cérébrale qui apaise. Certaines études médicales mettent même en avant ses vertus antidépresseurs. Elle se libère même lors d’un orgasme obtenu par masturbation.
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Se coucher tard nuit !
La chanson la plus courte de Raymond Devos.
Personnellement, j’avoue avoir un faible pour Raymond Devos. Et tout particulièrement, son art de jouer avec les mots et la langue française. Mais, je ne connaissais pas cette chanson « Se coucher tard nuit. » Et pourtant, cela ne peut être qu’une évidence de la partager sur un blog comme comment mieux dormir. Alors voilà c’est chose faite.
La vidéo de la chanson humoristique de Raymond Devos. En fait, en six seconde, il chante « Se coucher tard nuit ». Voilà, le génie de Raymond, affirmer que plus la chanson sera courte plus vite on sera au lit. N’est-ce pas là l’essentiel.