Sommeil, les différentes formes de co-sleeping ?
05/06/2017
Dormir à deux.
Quand on évoque le fait de dormir à deux, on pense tout de suite au couple. Mais il ne faut pas oublier le cododo ou médore qui prend ses aises. Peut-être même que dans certaines familles, on trouve dans le lit parental, le couple, l’enfant et le chien ; bonjour le sommeil. Dans l’étude de l’INSV, sur les incidences du fait de dormir à deux sur notre sommeil, on trouve ces autres formes qui ne sont pas non plus sans conséquences sur nos nuits. Je vous propose de prendre le temps d’en faire l’inventaire.
- Le co-sleeping entre adultes : dormir à plusieurs entre adultes est visiblement la situation la plus répandue. Dans ce cas ce que les auteurs de l’étude englobent visiblement le cadre du couple ou la co-location entre étudiants notamment. Notons que « la moitié des Français dorment avec un autre adulte, très généralement dans un seul lit ». Bien que la co-location soit de plus en plus présente à notre époque, dormir à deux se fait dans la majorité des cas dans le cadre de la vie de couple. Il ne faut pas oublier que l’alternative, n’est pas forcément lit commun ou chambre à part, certains couples dorment dans la même chambre avec chacun leur lit.
- Le cododo ou co-sleeping avec un enfant : que cela s’effectue dans le cadre d’une démarche réfléchie de co-dodo ou au contraire de manière plus subie du fait de manque de place dans le logement, ou pour avoir la paix, l’étude révèle que « 12% des Français dorment avec un enfant dans leur chambre ». Ce phénomène a surtout lieu de 2 à 5 ans, mais peut parfois se prolonger jusqu’à 10 ans. Bon nombre de parents et plus particulièrement de mamans souffrent de cela.
- Le co-sleeping avec un animal : les animaux sont très présents dans nos foyers. l’étude met en avant que « au moins un animal domestique présent dans 1 foyer sur 2 » et que « pour un tiers des Français ayant un animal, celui-ci est présent dans la chambre toutes les nuits ou presque ». Ce qui m’a frappé, c’est que 26% des personnes interrogés déclarent que cela perturbe leur sommeil et 13% que cela améliore leur sommeil.
Source enquête INSV MGEN réalisée par Opinion Way pour la journée du sommeil 2017. Pour consulter l’ensemble de l’enquête [cliquez ici].
Les articles déjà parus sur ce thème :